On pénètre dans la masse confuse, dans les entrelacs dédaléens des médinas marocaines de Tanger et Chefchaouen. La matière photographique et les couleurs sont denses comme l’ambiance nocturne pesante des ruelles peuplées de silhouettes étranges. La ville semble impénétrable et inquiétante mais réserve quelques alcôves de chaleur profective.